Chemins - Routes -Chemin de Fer

 

Routes-Chemin de Fer-ligne- Paris-Brest- Guer et Redon en Passant par Glénac

1761-La Chaussée Port Corbin Construite aux Frais de la Seigneurie de Rieux[1] 

.1840-La commune participe aux frais de la route La Gacilly-Vannes

Sur [2]la proposition de M. le préfet, qui assiste à cette partie de la séance, le conseil général appelle à concourir aux dépenses des chemins vicinaux de grande communication ;

La commune de Glénac, pour le chemin N. ° 33 de La Gacilly à Vannes, qui passe aussi sur son territoire

1863-Adjudication pour les Travaux de Terrassement sur les Chemins

 Le [3]Préfet donne avis aux entrepreneurs de travaux publics que le mercredi  4 février prochain à une heure de l’après- midi, il sera procédé en conseil de Préfecture et en présence de l’agent-voyer en chef du département à l’adjudication sur soumissions cachetées et en dix lots distincts sur les chemins de grande communication dont  Glénac, la Gacilly, Cournon,etc. 

 1868-Conseil général  Ille-et-Vilaine

La[4] commission départementale a adopté et maintenu la proposition des commissions cantonales, sous les modifications suivantes

Bains. — Le n° 9, de Glénac à Renac, et le n° 10, de Bains à Panleur, dans la deuxième catégorie.

 1872-Projet de classement d'un chemin devant relier Glénac à St-Martin, territoire de Glénac.

Commission Départementales du Morbihan

Séances [5]des 30 et des 31 mai 1872 extrait du compte rendu

8. Projet de classement d'un chemin devant relier Glénac à St-Martin, territoire de Glénac.

1872-Classement des Chemins Glénac à St Martin

Classement[6] d'un chemin, destiné à relier la commune de Glénac à celle de Saint-Martin sur le territoire de Glénac. Classement d'un chemin dans la commune des Fougerêts du Champ-Pihal à Glénac.

1873-Classement des Chemins

Au [7]cours de l'exercice, il a été opéré 12 nouveaux classements de chemins, instamment demandés par les Conseils municipaux et les habitants des communes de Glénac, Les Fougerêts, Tréal, Rochefort, Ârzon, Calan, Cruguel, Gourhel, Baud, Billio et Guéhenno, cette dernière commune figurant pour deux classements .

 1873-Adjudication sur Soumissions cachetées

Le[8] préfet du Morbihan donne avis aux entrepreneurs de travaux publics que le samedi 26 avril, à une heure de l'après-midi, il sera procédé par lui, à l'hôtel de la préfecture, en présence de deux membres du conseil général assistés de l'agent-voyer en chef du département, à l'adjudication sur soumissions cachetées, en 5 lots distincts, des travaux à. exécuter sur les chemins vicinaux de Baud et Guénin, de Carentoir, de Glénac, de Pluherlin et de Pluvigner.

Les devis et détails estimatifs seront communiqués aux concurrents, à Vannes, à la préfecture, bureau des travaux publics, tous les jours, de midi à trois heures, (les dimanches et fêtes exceptés) .

 1873-Elargissement du Chemin Ordinaire No 5 de Glénac –St Martin

 Projet  [9]d'élargissement de la partie comprise entre Glénac et Tréhat, sur une longueur de 1250 mètres. Conformément à la proposition de M. le préfet, la commission départementale approuve ce projet. Rapporteur, M. Rochard

 1873-Subvention [10]du département pour les chemins vicinaux pour l'année 1873

1873-Tableau des emprunts pour le vicinal   [11]

 

 

 1874-Chemin vicinal ordinaire no4 de la commune des Fougerets

Le[13] préfet propose à la commission d'approuver le projet de tracé du chemin vicinal ordinaire, 4, des champs-Pilial à Glénac, dans la partie comprise entre l'Hôtel-Garel et la limite de Glénac, sur le territoire des  Fougerêts.La commission  donne son  approbation à  ce projet, déclare d'utilité publique et fixe la  largeur du chemin à  six mètres non compris les fossés  et le talus,

Rapporteur : M. Evain.

 1874-Le projet tracé du chemin vicinal ordinaire, n° 5 approuvé

La [14]commission départementale approuve, tel qu'il est proposé par l'administration, le projet tracé du chemin vicinal ordinaire, n° 5, de Glénac à Saint-Martin, dans la partie comprise entre le Port-de-Roche et la limite des Fougerêts, sur le territoire de la commune de Glénac.

Elle déclare ce projet d'utilité publique, et fixe la largeur du chemin à 6 mètres non compris les fossés et talus.

La commission s'associant, en outre, au vœu du conseil municipal, demande que les travaux à exécuter sur ce projet de tracé soient promptement  mis en adjudication.

Rapporteur M Evain

1874-Subvention [15]du département pour les chemins vicinaux.

 

1874-Terrassement sur la route de Malansac-St Séglin par Glénac

 

1876-Tableau Dépenses et Subvention Chemins Vicinaux.

1876- [16]Chemin N° 38. — Terrassement à la Forêt-Neuve, en Glénac.

1876-Tableau des subventions sur plusieurs années chemins vicinaux.

 

1878-Pont de St Congard et Glénac.

Dans[17] votre session de décembre 1877, vous avez inscrit au budget départemental (sous-chap.6 article 5) une somme de 4,500 fr. pour la part contributive du département dans la dépense de construction du pont de Saint-Congard, situé sur un chemin vicinal ordinaire et intéressant plusieurs communes.

Vous avez, en même temps, donné un avis favorable à l'imposition d'office de ces communes par application de l'article 72 de la loi du 18 juillet 1837, ces communes, au nombre de 11, étant sauf Pleucadeuc et Ruffiac, dénuées de ressources et refusent de voter le contingent qui leur est réclamé.

Cette imposition ne pouvant toutefois aux termes de cet article de loi être faite que jusqu'à concurrence  de 10%, au plus annuellement, la durée de l'imposition serait considérable pour plusieurs de ces communes notamment pour celles de Saint-Laurent, à qui un contingent de 5,940 fr. est demandé et dont le centime ne produit que 10 fr., Saint-Congard dont le contingent est fixé à 6.600fr , le centime ne donnant que 30 fr., et Saint-Nicolas-du-Tertre dont le centime ne produit que 22 fr. La valeur du centime n'est même que de 31 fr, 38 fr, et 40 fr, à Glénac, Les Fougerêts et Tréal.

Dans cette situation et avant de procéder aux impositions d'office, j'ai demandé à M. le Ministre de l'Intérieur, par lettre du 19 avril dernier, s'il ne lui serait pas possible d'augmenter la subvention de 4,500 fr., que l'État s'est engagé à fournir pour, la construction dont il s'agit. Par dépêche du 25 du même mois, M. le Ministre m'a fait connaître que ma demande ne pourra être examinée utilement que vers la fin de 1879, c'est-à-dire au moment où l'administration s'occupera de la répartition du crédit afférent à l'exercice 1880.

Mais une décision ministérielle en date du 6 décembre 1877, portant que le concours de l'État pourrait être sans l'excéder, du 5e de la dépense, et ce concours étant habituellement égal à celui du département, vous pourriez décider en principe que vous élèverez celui-ci à 8,400 fr., soit 3,900 fr. à ajouter au 4,500 fr. que vous avez votés.

Le concours de l'État étant alors égal à celui du département, les deux subventions formeraient un total de 16,800 fr., ce qui ne laisserait à la charge des communes que 25,200 fr, chiffre qui permettrait leur imposition d'office. Vous examinerez s'il vous est possible de prendre une décision dans ce sens

1879-tableau servant à calculer le montant des subventions pour les chemins vicinaux

 1879-Projet de Tracé de Chemin au Château de la Forêt-Neuve.

Le [18]Conseil général adopte les conclusions du rapport suivant présenté par M. Bonnelle.

Messieurs,

Conformément aux propositions de M. le Préfet, et pour assurer une plus prompte exécution de travaux urgents, votre 2e commission vous prie de déléguer à votre Commission départementale l'étude et l'approbation des projets ci-dessous.

Projet de tracé de la partie comprise sur Glénac, entre le chemin ordinaire N° 5 et l'avenue du château de la Forêt-Neuve.

1879-Construction sur Glénac, entre la Forêt-Neuve et le chemin ordinaire N2.

1882-Une lacune très importante existe entre le canal et le chemin d'intérêt 52, travaux prévus

Ce chemin est en construction entre le village du Bas-Limur, en Peillac, et le canal de Nantes à Brest; la circulation, entre ces deux points, est, dès maintenant assurée et cette lacune disparaîtra en 1883.

Une lacune très importante existe entre le canal et le chemin d'intérêt commun N° 52, sur les communes de Saint-Vincent, de Glénac, dans les marais de l'Oust. Ce travail pourra être commencé en 1883.

1882-Chemin N° 52, de Saint-Congard au Pont-Corbin, par Saint-Martin et Glénac.

Ce chemin est aujourd'hui  terminé, entre le Pont-Corbin et la Croix de la Landelle, en Saint-Martin. Le tracé a été approuvé entre ce dernier point et le pont de Saint-Congard et nous espérons que les ressources de 1883 nous permettront de pousser vivement les travaux de cette lacune

1883-Une lacune très importante existe entre le canal et le chemin d'intérêt commun

Chemin[19] N° 38, de Malansac à Saint-Séglin, par Peillac, La Gacilly et Quelneuc.

La portion de ce chemin, comprise entre le Bas-Limur et le canal de Nantes à Brest, est actuellement terminée.

Une lacune très importante existe entre le canal et le chemin d'intérêt commun, N° 52, sur les communes de Saint-Vincent et de Glénac. Nous ferons, en temps utile, des propositions au sujet des dispositions à adopter pour l'exécution de cette lacune qui traverse les marais de Branféré.

1883-Chemin N° 52, de Saint-Congard au Port-Corbin par Saint-Martin et Glénac.

Ce chemin est à l'état d'entretien entre le Port-Corbin et la croix de la Landelle ; entre ce dernier point et la chapelle Saint-Mathurin , les travaux adjugés sont commencés et seront poussés aussi activement que le permettront les crédits. Il ne restera plus à construire que la portion comprise entre la chapelle Saint-Mathurin et le pont de Saint-Congard

1884-projet de construction entre le pont de Bilaire et Branféré chemin no 38

Chemin N° 38, de Malansac à Saint-Séglin, par Peillac, La Gacilly, et Quelneuc.

Une lacune très importante existe entre le chemin d'intérêt commun N° 52 et le canal sur les communes de Saint-Vincent et de Glénac dans les marais d'Oust, nous espérons présenter prochainement un projet de construction entre le pont de Bilaire et le village de Branféré. Enfin,  la lacune située sur Quelneuc aux abords du département d'Ille-et-Vilaine existe toujours parce que le tracé n'est pas encore arrêté sur ce département

 1884-Le chemin entre St Congard et le Port Corbin est à l'état entretien

Chemin N° 52, de Saint-Congard au Port-Corbin, par Saint-Martin et Glénac.

La lacune entre Saint-Congard et la chapelle Saint-Mathurin vient d'être adjugée. Les travaux commencés en 1884 seront terminés en 1885. Ils sont poussés activement entre la chapelle Saint-Mathurin et la croix de la Landelle. Entre ce dernier point et le Port-Corbin, le chemin est à l'état d'entretien.

 1884-Tracé [20]entre le chemin no 52 et le pont de Bilaire , chemin  Malansac-St Séglin

1885- Il existe une lacune sur le chemin 52 sur les marais

Chemin N° 38,[21] de Malansac à Saint-Séglin, par Peillac, La Gacilly et Quelneuc.

Une lacune importante existe entre le chemin d'intérêt commun N° 52 et le canal, sur les communes de Saint-Vincent et de Glénac, dans les marais d'Oust. La portion comprise entre les marais et le chemin d'intérêt commun N° 52 a été exécutée en 1884. Le tracé de la lacune existant sur Quelneuc ayant également été arrêté sur le département d'Ille-et-Vilaine, les travaux de construction de cette partie seront entrepris en 1886

1885- Le chemin no 52  St Congard - Port Corbain se termine

Chemin N° 52, de Saint-Congard au Port-Corbin, par Saint-Martin et Glénac.

La lacune entre Saint-Congard et la chapelle Saint-Mathurin est actuellement terrassée et approvisionnée des matériaux nécessaires à l'empierrement. Elle sera achevée dans le courant de cette année. Le reste de la ligne est aujourd'hui à l'état d'entretien

 1887-Chemin N° 38, de Malansac à Saint-Séglin, par Peillac, La Gacilly et Quelneuc.

Une lacune très importante existe toujours sur les communes de Saint-Vincent et de Glénac, dans les marais de l'Oust. Le projet de tracé dans cette lacune a été approuvé par la Commission départementale le 31 mars dernier. Le projet de construction sera établi aussitôt que le débouché du pont à construire pour le passage de la rivière d'Oust aura été fixé de concert avec MM. les Ingénieurs du service hydraulique, à qui la question est actuellement soumise, et nous pensons que les travaux pourront être adjugés dans le courant de l'année prochaine. Il y aura lieu, à raison de l'importance de ces travaux, de solliciter pour leur exécution une subvention extraordinaire de l'État sur les réserves constituées en vertu de l'article 9 de la loi du 12 mars 1880.Il conviendra, ultérieurement, d'élargir le chemin dans le bourg de Peillac, et dans la rue Saint-Vincent à La Gacilly.

1887- Reconnaissance Chemin Ruraux

La Commission départementale a, jusqu'à ce jour, prononcé la reconnaissance des chemins ruraux de 25 communes. Cette reconnaissance s'applique à une longueur totale de 239 km,349.

Pour dix autres communes (Saint-Avé, Caden, Carentoir, Berric, Saint-Jacut, Glénac, Bignan, Saint-Pierre-Quibéron, Saint-Gravé, Arradon), les plans parcellaires sont également faits et l'on procède ou l'on va procéder à l'enquête réglementaire, en sorte que la reconnaissance en ce qui les concerne ne saurait tarder à avoir lieu. La longueur totale des voies rurales à reconnaître dans ces dix communes est de 114Km360.

 1889-Chemin 38 Malansac - St Séglin Pose du Tablier sur le Pont d'Oust

Le [22]projet de construction dans la lacune existant sur les communes de Saint-Vincent et Glénac, dans la traversée de la vallée de l'Oust, a été adjugé le 5 mai 1888. Dans le courant de cette année, l'entrepreneur devra établir les maçonneries des ouvrages d'art, afin que le tablier métallique du pont sur l'Oust puisse être posé en 1889, après l'exécution des levées des abords. Il restera ensuite à élargir le chemin dans le bourg de Peillac et dans la rue Saint-Vincent, à La Gacilly.

 1890-Proposition de budget pour les Chemins

PROPOSITIONS BUDGÉTAIRES POUR 1891.

Le [23]réseau de grande communication aura, à la fin de l'année, une longueur totale de 1413km,911m, supérieure de 504 m a celle de l'année dernière, par suite de l'achèvement de la rectification de la cote du Poteau-Rouge, sur le chemin de grande communication N" 31 (ancienne route départementale N d 0).

L'entretien de ce réseau figure au budget de 1890 pour une somme de  322,037f10

Nous demandons pour le même service en 1891 un crédit sensiblement égal, soit 322,900 27

La dépense prévue pour l'entretien du réseau d'intérêt  commun était pour 1890 de 200,20117

Elle est pour 1891 de 208,690 42, différence en plus de 2,489 25

Cette augmentation se justifie par un accroissement dans la longueur à l'état d'entretien. Cette longueur, en effet, atteint à peine 1374 kilomètres cette année, tandis que, suivant nos prévisions, elle dépassera 1382 kilomètres en 1891. Il y a lieu d'ajouter que, sur les 8 kilomètres qui seront amenés à l'état d'entretien avant la fin de l'année, il en est 3 à 4 qui donneront lieu à un entretien onéreux pendant deux ou trois ans, jusqu'à ce que les chaussées d'empierrement soient bien assises, notamment sur le chemin N° 38, au passage des marais de Glénac, et sur le N° 55, dans la traversée de la forêt de Lanouée.

 1890-Vente de Terrains par Mr de Foucher à l'Administration pour l'Ouverture du Chemin no 38

 

1892-Construction du chemin ordinaire N° 6, de Glénac à Saint-Don

Travaux [24]à subventionner en 1892-Programme supplémentaire

Construction du chemin ordinaire N° 6, de Glénac à Saint-Don

 

1893-Crédit pour les Chemins Ruraux

Répartition du [25]crédit de 3000 fr. inscrit à l'art. 117 du chapitre IV, entre un certain nombre de communes pour leurs chemins vicinaux; d'une partie du crédit de 3000 fr. inscrit à l'art. 19 du chapitre XVII entre les communes de Cléguer, Glénac, la Gacilly, Carentoir et Saint-Jean-la-Poterie, en faveur de leurs chemins ruraux

 1894-Achèvement du chemin no 4 du Houssaye et l'Arche Marinière [26]

(Arche marinière est un pont qui possède un passage pour les péniches)

1894-Approbation ou classement de chemins vicinaux

Travaux relatifs [27]à la petite vicinalité. Classements ou approbation de tracés, redressements ou règlements d'alignements de chemins vicinaux intéressant 19 communes :

Glénac, Saint-Pierre-Quiberon, Damgan, Guer, Pluherlin, Ploeren, Crach, Palais, Brignac, Caro, Meucon, Camoël, Calan, Réminiac, Augan, Ploërmel, Surzur, Saint-Jacut et Saint-Dolay

 1895-Chemins d'intérêt commun 52, de Saint-Congard au Port-Corbin, par Saint-Martin et Glénac

Situation [28]particulière de chaque ligne.  Le réseau d'intérêt  commun comprenait, au 1erjanvier dernier, 91 chemins, parmi lesquels 73 sont aujourd'hui terminés et en bon état d'entretien, savoir

52, de Saint-Congard au Port-Corbin, par Saint-Martin et Glénac

 1896-Chemins d'intérêt commun  52, de Saint-Congard au Port-Corbin , par Saint-Martin et Glénac

Situation [29]particulière de chaque ligne.  Le réseau d'intérêt commun comprenait au 1er janvier dernier 91 chemins, parmi lesquels 75 sont aujourd'hui terminés et en bon état d'entretien, savoir

52, de Saint-Congard au Port-Corbin, par Saint-Martin et Glénac.

 1897-Chemin No 52, Construction du Pont de Port-Corbin sur l'Aff et de ses Abords

1™SECTION.- PROJETS FIGURANT AU PROGRAMME ÉVENTUEL DE 1897

Chemins d'intérêt commun.

N" 52, de Saint-Congard Glénac. Construction du pont de Port-Corbin, au Port-Corbin.sur l'Aff, et de ses abords.

 1897-Suite du Projet de Rectification du Chemin no  38.

Au nom de la 2e commission, M. de Behr donne lecture du rapport suivant :

MESSIEURS,

La Commune [30]de.la Gacilly attend depuis longtemps  et poursuit aujourd'hui  la rectification du Chemin d'intérêt commun N° 38, à la sortie de la Ville, et jusqu'à la limite de Glénac, sur un développement de 1,398 mètres. Il résultera de ce travail une amélioration notable pour la circulation, que la raideur des pentes actuelles rend difficile et parfois impossible

1897-Rectification sur le Chemin no 38 à la Limite de la Gacilly et Glénac sur 1235 mètres

CHEMIN D'INTÉRÊT COMMUN N° 38.

PROJET DE RECTIFICATION ENTRE LA LIMITE DE GLÉNAC ET LA GACILLY.[31]

J'ai l'honneur de soumettre à votre approbation le projet de rectification du chemin d'intérêt commun N° 38, de Malansac à Saint-Séglin, partie comprise entre la limite de Glénac et La Gacilly, sur une longueur de 1398 mètres. Bordereau N» 20.Bordereau No 21.Bordereau N° 22.

Au cours de l'enquête à laquelle ce projet a été soumis, aucune observation n'a été présentée et le Commissaire enquêteur ainsi que le Conseil municipal de La Gacilly ont émis des avis favorables à son adoption.

Je vous prie, en conséquence, Messieurs, la commission départementale n'ayant reçu aucune délégation à cet effet, de vouloir bien :

1° approuver, tel qu'il a été établi par le service vicinal et suivant les lignes rouges du plan parcellaire, le projet de rectification du chemin d'intérêt commun N° 38, dans la partie ci-dessus désignée ;

2° Le déclarer d'utilité publique en ce qui concerne les terrains non bâtis.

 1898-Soumission [32]pour Travaux sur le Pont du Port-Corbin sur l'Aff  

 

1898-Construction du pont  au Port Corbin

No 52, [33]de Saint-Congard au port Corbin, par Saint-Martinet Glénac. Il ne restait plus, pour terminer ce chemin, qu'à exécuter un pont sur l'Aff, au port Corbin. Cet ouvrage et ses abords sont en cours d'exécution avec le concours du département d'Ille-et-Vilaine, et seront terminés en 1899.

1898-Construction des maçonneries du pont de Port-Corbin

Construction[34] des maçonneries et des abords du Pont de Port-Corbin, sur l'Aff, entre Glénac et Bains 21500 Fr. Construction du tablier métallique du dit pont 13.500.

 1898-Rapport supplémentaire des travaux du Houssais à l'arche marinière à La Gacilly

Chemin no[35] 4 Travaux du Houssais à l'arche marinière à La Gacilly

 1900-Un Pont sur l'Aff au Port Corbin –

No  [36]52, de Saint-Congard au Port Corbin, par Saint-Martin et Glénac.

Il ne restait plus, pour terminer ce chemin, qu'à exécuter un pont sur l'Aff, au Port Corbin. Cet ouvrage et ses abords sont en cours d'exécution avec le concours du département d'Ille-et-Vilaine, et seront terminés à bref délai.

1900- Construction [37]entre le Chemin du Houssais et l'Arche Marinière

1900-Construction entre le  chemin vicinal no 1 et la section exécutée

Construction [38]entre le chemin vicinal no 1 et la section exécutée sur 1403 mètres ; 5200F. Macé de Bains.

 1901-Restauration  du Chemin aux Abords du Port Corbin

On exécute tous les ans, sur ces chemins, comme sur ceux de grande communication, divers travaux d'amélioration ayant pour objet le renforcement des chaussées d'empierrement ou l'élargissement des traverses des bourgs et villages.

Les principaux travaux de cette nature exécutés au cours de l'année 1900 sont les suivants:

52, de Saint-Congard au Port-Corbin, par Saint-Martin et Glénac.

1907-Glénac à Classer Chemin de la Pichardais à Cournon[39]

1910- Chemin de la Pichardais à Cournon à classer

1911-Bon Etat Entretien Chemin no 52 St Congard - Port-Corbin

Situation particulière de chaque ligne.[40] — Le réseau d'intérêt commun comprenait, au 1er janvier dernier, 93 chemins, parmi lesquels 89 sont aujourd'hui terminés et en bon état d'entretien, savoir

52, de Saint-Congard au Port-Corbin, par Saint-Martin et Glénac .

 

1911-Classement  du chemin vicinal no 7 de la Pichardais à Cournon, est approuvé

Commission Départementale du Morbihan[41]

Est  classé sous le no 7 le Chemin vicinal de la Pichardais à Cournon et est aussi approuvé le redressement de même chemin.

 1912- Route de la Pichardais à Cournon [42]

1914 Le Chemin entre  ST Congard et le Port-Corbin est bien Entretenu

Situation particulière de chaque ligne. [43]— Le réseau d'intérêt commun comprenait, au 1er janvier dernier, 93 chemins, parmi lesquels 89 sont aujourd'hui terminés et en bon état d'entretien, savoir:

52, de Saint-Congard au Port-Corbin, par St-Martin et Glénac.

 1928-Tableau des Frais pour le Chemin à Effectuer à la Chaussée[44]

 

1930-Travaux de Restauration du Chemin à  Launay (10 000f)[45]

 

 1930- Subvention Départementale  pour le Chemin de  la Chaussée

 EMPLOI DES SUBVENTIONS DÉPARTEMENTALES

Nous donnons ci-après le relevé des sommes que nous avons proposé de payer à titre de subvention depuis notre dernier rapport

Glénac pour la Chaussée 2041f

1933-Les Routes  Coupées

Par suite [46]du mauvais temps et des pluies tombées en abondance depuis quelques jours, les eaux au canal de Nantes à Brest sont sorties de leur lit, rendant la navigation impossible.

Plusieurs routes ont été coupées par les eaux , on signale une hauteur de 40 centimètres sur  le chemin de grande communication n° 14 au pont d'Oust en Peillac et aux Fougerêts. Au pont d’Ars, route de St Vincent sur Oust et au pont de la Vacherie, route de Saint-Vincent à la gare de Saint-Jacut , les eaux ont envahi la chaussée. Au pont de Saint-Perreux, la route de Grugaraye  au Nouveau Bourg fut également  submergée. A Saint-Martin-sur Oust, les eaux ont recouvert une partie de la route du Gueslin , les riverains les plus menacés ont dû évacuer et prendre leurs dispositions pour sauver récolte et bestiaux . Les marais de St Perreux, de Saint-Vincent sur Oust, de Glénac, des Fougerêts, et de Saint Jacut donnent l’impression d’un immense lac dont les eaux poussées par la violence du vent ressemblent aux vagues de l’océan. 

1934-Circulation Interdite au Pont de Bilaire à Cause de Travaux

1937-Projet de Chemin au Berland[47]

Chemin de Fer

1843-LIGNE DE PARIS A BREST

Ministère des travaux publics situation des travaux en Décembre 1843

[48]Deux directions principales sont étudiées pour cette ligne.

L'une s'embranche, à Nantes, sur la ligne de Paris à Nantes, et suit à peu près le canal de Nantes à Brest.

L'autre se dirige de Paris sur Brest par Chartres, Laval, Rennes et Pontivy, c'est à dire par un tracé peu éloigné de celui de la route de terre.

Cette direction a été partagée en trois sections

La première, de Nantes à la Vilaine;

La deuxième, de la Vilaine à la limite du Finistère;

La troisième, de la limite du Finistère à Brest.

 

1843-Résumé pour Glénac

Le tracé traverse la Vilaine en amont de Redon, en se tenant à 6 mètres 50 centimètres au-dessus de l'étiage de la Vilaine. Il se dirige vers l'étang de Via par le vallon de la Pouenay, et passe d'un vallon dans l'autre au moyen d'un souterrain de 2,000 mètres de longueur.

Il descend ensuite de l’étang de Via à la rivière d'Oust, qu'il remonte en se tenant sur la rive gauche depuis le vallon de Via au pont du Roc-Saint-André. Sur toute cette partie on ne rencontre que deux points difficiles. Le premier, au passage des rochers de Bougro, à droite de Painfaut, ou l'on fera dans le granit un souterrain de 600 mètres de longueur. Le second, au marais de Glénac, qu'on franchira au moyen d'une levée de 550 mètres de longueur sur 6 mètres de hauteur, et d'un pont de 30 mètres d'ouverture sur la rivière d'Aff.

Au pont du Roc-Saint-André, on traverse l'Oust, pour ne pas se jeter dans le coteau du Crévy, et on suit la rive droite jusqu'à l'écluse de Blon où l'on reprend la rive gauche pour éviter des rochers et un coteau très escarpés situés au droit du déversoir de Blon. De Blon à Josselin, on se tient sur la rive gauche; mais, pour éviter de traverser la ville de Josselin, on passe sur la rive droite et l'on reprend la rive gauche à environ 600 mètres en amont de Josselin, après avoir fait une tranchée dans le faubourg de Sainte-Croix

 1888-Ligne de Chemin de Fer entre Guer et Redon en Passant par Glénac

Communes consultées : 23 communes

17 communes[49] ont refusé leur concours

Savoir : Allaire, Beignon, Les Fougerêts, Monteneuf, Peillac, Porcaro, Quelneuc, Réminiac, Rieux, Saint-Gorgon, Saint-Jacut, Saint-Jean-la-Poterie, Saint-Malo-de-Beignon, Saint-Martin, Saint-Nicolas-du-Tertre, Saint-Perreux, Saint-Vincent.

Communes qui ont consenti : 5.

Savoir : Carentoir, Cournon, Glénac, La Gacilly, Tréal.

Communes qui n'ont pas répondu ou qui ont ajourné leur réponse : 1.Savoir : Guer.

 1803-Rapports pour la ligne de tramway  Redon Plélan passant sur Glénac

 Au nom de la [50]2e Commission, M. de Behr donne lecture du rapport suivant :

MESSIEURS,

En vous soumettant aujourd'hui le projet du tramway de Plélan à Redon, je n'ai plus à vous exposer, dans son origine et son but, une question qui revient périodiquement, depuis trois années, devant le Conseil général ; mais je rappellerai encore  interprète de la pensée de  votre 2e Commission  qu'il s'agit d'un intérêt vital pour une région morbihannaise, trop déshéritée jusqu'ici, d'une œuvre dont le département voisin, uni à notre sort et à nos espérances, poursuit de son côté la réalisation. Je le rappellerai, Messieurs, soutenu dans ma tâche par votre adhésion, que vos prudentes et très légitimes réserves ne m'ont jamais empêché de trouver encourageante.

Nous n'avons aujourd'hui qu'à vous représenter ce projet, accepté par vous en principe ; mais nous le plaçons, cette fois, sous vos yeux, après une étude complète, qui vous permet enfin d'adopter le tracé de la ligne, avec ses conditions d'établissement.

Vous l'aviez au cours de la session dernière, renvoyé aux enquêtes publiques, à la suite des informations prescrites dans les cantons de Guer et de La Gacilly, quelques changements, demandés par la commission d'enquête, y ont été introduits. Il vous revient en état, achevé  et ne subira de retouches que sur certains détails, d'une importance secondaire, comme la désignation des stations et haltes, qui fera ultérieurement l'objet d'une instruction spéciale.

J'indiquerai seulement les traits essentiels du projet dressé par MM. les Ingénieurs.

Sauf un léger écart précédemment admis  à partir de la Chapelle-Gaceline, où elle traverse l'Aff, pour entrer dans l'Ille-et-Vilaine, en suivant la rive gauche de ce cours d'eau, jusqu'à La Gacilly, la ligne se tient sur notre territoire, avec un développement de 34 kilomètres 270 mètres, qu'ont réduit à ce chiffre deux raccourcissements, opérés à Beignon et à Cournon, conformément au vœu de la Commission d'enquête. Les pentes, comme les courbes, ont été maintenues dans les limites fixées par le Conseil général ; les points d'arrêt dont il est fait mention sont aussi multipliés que de raison, sans nuire à la vitesse normale de la marche, et posés autant que possible auprès des agglomérations ; en un mot, la ligne est bien établie et se prête à une exploitation facile dont  on évalue la dépense au taux de 3.000 francs par kilomètre et par an.

Nous avons déjà dit. Messieurs, avec données certaines à l'appui, que cette exploitation serait sûrement fructueuse  et nous pouvons affirmer à l'avance qu'elle occupera, au point de vue du rendement, un rang privilégié dans l'économie de nos voies ferrées départementales. Nous continuons, en effet, Rennes-Plélan, dont les recettes annuelles, rémunératrices dès le début, progressent chaque jour ; et les relations sont exceptionnellement actives entre toutes nos localités desservies par le nouveau tracé, comme entre celles-ci et nos points de raccord, d'où l'on va sur Rennes et sur Nantes.

Seulement, les frais de construction et de premier établissement ont subi dans les prévisions une augmentation appréciable, du fait des travaux coûteux que nécessitera la déviation du tracé au sud de La Gacilly, et de l'élargissement de la chaussée aux Prés-Naval, commune de Glénac ; ils s'élèvent à 41.000 francs par kilomètre, au lieu de 40.000, chiffre que vous aviez fixé. Mais il faut observer que ces frais ont été largement calculés, afin d'éviter tout mécompte et que la concurrence ne manquera pas de nous procurer des offres plus avantageuses. Enfin, nous devons remarquer que des atténuations de dépense résultent des raccourcissements indiqués ci-dessus ; de sorte que, toute compensation faite, le total ne dépasse que de 5.000 francs les 1.400.000 portés primitivement aux évaluations,  en y comprenant même une voie de raccordement entre la station et le port de La Gacilly.

Tel est, Messieurs, l'ensemble du projet, auquel, après notre commission d'enquête, la Chambre de Commerce de Lorient a donné un avis explicitement favorable.

Votre 2e Commission, à l'unanimité, conclut à son adoption, dans les conditions que propose M. l'Ingénieur en chef  et au renouvellement des pouvoirs de la Commission interdépartementale, chargée de préparer les termes des conventions futures, de recevoir et, au besoin, de provoquer des offres,  de prendre enfin, d'accord avec nos collègues d'Ille-et-Vilaine, les dispositions utiles, pour la réalisation effective de notre œuvre commune, à l'heure que vous aurez choisie.

M. Paubert : Je ne puis qu'appuyer les conclusions du rapport de mon honorable collègue M. de Behr, mais j'espère que vous n'oublierez pas le tramway projeté entre Port-Louis et Hennebont ; aussi j'attends votre vote avec confiance.

Les conclusions du rapport de M. de Behr, mises ensuite aux voix, sont adoptées.

 

1905-[51]Etudes  pour la construction d'un chemin fer REDON- LOCMINE par  La Gacilly et  Glénac

M. le comte de Gouyon donne lecture d'un rapport exposant la situation d'un projet de chemin de fer de Locminé à La Gacilly et Redon par Malestroit.

Cette ligne desservirait les communes de Locminé, Bignan , Saint-Marcel, St Jean-Brévelay, Billio, Plumelec, Lizio, Sérent, Saint Marcel, Malestroit, Missiriac, Saint-Laurent , Ruffiac, Tréal, Saint-Nicolas-du-Tertre, Carentoir, La Gacilly, Saint Congard, Saint-Gravé, Peillac, Les Fougerêts, Glénac

Les communes s'offrent à acquitter.les frais nécessités par les études à parfaire

Dans ces conditions le Conseil général vote les conclusions du rapport de M, le comte De Gouyon, émettant un avis favorable à cette proposition des communes.

M. le Comte du Boisbaudry s'associe à ces conclusions et dit que M. le duc de Rohan l'a chargé de faire connaitre ses sentiments également favorables à ce projet, auquel M. Le Mauf oppose un autre tracé auquel le Conseil général ne s'arrête pas, l'auteur de l’amendement étant d'ailleurs absent à ce moment.

M le Cte De Gouyon fait observer, du reste, qu'aucune étude n'a été commencée au sujet de ce nouveau tracé, tandis que les études concernant la ligne Locminé-Malestroit-La Gacilly-Redon sont déjà avancées.

M Nail  donne lecture d'un rapport, relatif à une proposition de M. de Préaudeau tendant à l'établissement d'une ligne de Ploërmel à Plélan et  concluant à ce que les communes fassent les frais des études de ce projet d'intérêt local. Elles devront être consultées à ce sujet.

M. de Préaudeau appuie très énergiquement les conclusions du rapport qui sont adoptées. La longueur de cette ligne serait de 17 kilomètres et les frais d'études estimés à 150 francs le kilomètre.

M. Bugnel donne lecture d'un rapport très documenté duquel il résulte, qu'il n'y a pas lieu d'imposer à la Compagnie des chemins de fer d'intérêt local du Morbihan une réglementation spéciale du travail qui n'est en usage que dans les grandes Compagnies.

Les conclusions de ce rapport sont adoptées.

Les conclusions de nombreux rapports de M. de Guy relatifs aux chemins vicinaux sont adoptées. Au cours de la séance, d'autres rapports ont été lus par MM. Buguel, Giband, etc. Une de ces dernières annonces que la ligne de Naizin à Pontivy ouvrira enfin le 11 mai.

Le conseil général fixe sa prochaine séance à jeudi matin, 9 heures1/2 afin de pouvoir terminer ses  travaux dans la soirée.

1910-Réunion pour maintenir le tracé de la ligne de  tramway Pléland-Redon

M.[52] le Préfet indique que la compagnie des chemins de fer du Morbihan se proposa incessamment d'entreprendre sur le territoire du Morbihan l'étude, proposée par le Conseil général le 19 août 1909, d'une variante pour le tracé de la ligne d'intérêt local projetée entre Ploêrmel et Plélan.

En ce qui concerne le raccordement de nos petits  chemins de  fer avec ceux du Finistère, la commission invite M. le Préfet  a faire connaître à son collègue du Finistère que les membres de la Commission interdépartementale du Morbihan, dont les pouvoirs ont été également renouvelés, sont tout disposés à se réunir de nouveau avec ceux du Finistère, mais que leur mandat est, comme précédemment, très limité, le Conseil général du Morbihan étant toujours résolu à ne contribuer à ce raccordement que s'il a lieu par Arzano- Plouay.

Pour ce qui est du tramway de Plélan- Redon, le Préfet a reçu deux nouvelles pétitions par lesquelles divers habitants des communes de Carentoir et de La Gacilly insistent pour une modification du  tracé du tramway de Plélan a Redon, modification demandée d'ailleurs par le Conseil municipal de Comblessac.

La commission estima que, après la délibération du Conseil général à ce sujet, y a lieu de maintenir purement et simplement le tracé adopté.

Ajoutons que le tracé de cette ligne, est actuellement piqueté jusqu'aux abords de Guer.

La Commission autorise M. le Préfet et son Président à signer la convention et le cahier des charges relatifs à la concession de là ligne de Locminé à la Gacilly, sous réserve toutefois qu'il y soit tenu compte des modifications apportées récemment aux conventions et cahier des charges des lignes, de Port-Louis à Baud et de Ploêrmel  à là Trinité-Porhoët, ainsi qu'au traité d'unification.

 

1911-Travaux du tramway  pour la ligne Pléland à Redon

Article 1) Les territoires sur lesquels seront exécutés les travaux[53] du tramway de Plélan à Redon dans le département du Morbihan sont, conformément au plan général approuvé par M. le Préfet du Morbihan, savoir :

Dans l’arrondissement de Ploêrmel, ceux des communes de Beignon, St- Malo-de Beignon et Guer.

Et dans l'arrondissement de Vannes, ceux des communes de Carentoir, La Chapelle-Gaceline, Cournon et Glénac.

Article 2.  Le présent arrêté sera publié à son de trompe ou de caisse dans chacune des communes ci-dessus désignées, et y sera affiché, tant a la principale porte de l'église qu’à celle de la mairie par les soins et la diligence de M.M. les Maires. Il sera, en outre, inséré dans le journal le Progrès du Morbihan, du 20 juillet 1911, lequel se publie à Vannes.

Fait et arrêté à Vannes, en l’Hôtel de la Préfecture, le 25 juillet 1911.

Préfet du Morbihan

1912-Expropriation des terrains pour la ligne Plélan à Redon [54]

Terrain appartenant à M. Louis Boudard de Glénac

1926-Projet de service postal du courrier une ligne Malestroit- Redon passant par Glénac suite au tramway[55]

 

1926-ACCIDENT TRAIN-VOITURE AU PONT DE PARNAVA 58

 

 

1935-POUR LE MAINTIEN DE LA LIGNE DES T. I V. DE PLÉLAN A REDON.

Sous[57] la présidence de M. de Gouyon, conseiller général du canton de La Gacilly, une réunion des conseillers généraux et maires des communes intéressées au maintien de la section de ligne en question s'est  tenue à la mairie de Carentoir le jeudi 10 octobre

Etaient d'autre part présents : MM. Dr Molac, conseiller général du canton de Guer ; Lieutenant-colonel Pailler, commandant le Camp de Coëtquidan ; les Maires des communes de Redon, la Gacilly, Carentoir, Tréal, Guer, Glénac, Beignon et St-Malo-de-Beignon.

M. de Gouyon a exposé l'objet de la réunion :

Etude de la situation qui ressortira pour les usagers des localités desservies par la section de ligne en cause, lorsque sera mise en application la décision prise par le Conseil Général d’Ille-et-Vilaine, lors de sa dernière session, de supprimer l'exploitation de ce parcours, allégué déficitaire, vraisemblablement au 1er janvier prochain.

Après un échange de vues général, il a été décidé d'obtenir des Municipalités un vote de demande du maintien de la section de ligne condamnée, ainsi que l'adhésion des usagers pour le même objet, par voie de pétitions qui devront se couvrir du plus grand nombre possible de signatures.

 1938-Avis de publication pour le déclassement de la ligne de tramway Redon - Plélan

 


[1] Bulletin Archéologique de 1902

[2] Rapport du Conseil Général 1840

[3] Courrier de Bretagne 1863

[4] Conseil Général Ille et Vilaine 1868

[5]Courrier de Bretagne 1872 juin

[6] Conseil Général DU Morbihan 1872

[7] Rapports Conseil Général 1873 Aout

[8] Journal du Morbihan 1873 Avril 9

[9] Journal du Morbihan 1873 Avril

[10] Rapports Conseil Général 1873 Avril

[11] Rapports Conseil Général 1873

[12] Journal du Morbihan 1873-

[13]Journal du Morbihan 1874 Avril 13

[14] Journal du Morbihan 1874 Avril 13

[15] Rapports Conseil Général 1874 Avril

[16] Rapports Conseil Général 1876 aout

[17] Rapports Conseil Général 1878 Aout

 [18] Conseil Général 1879 Avril

[19] Rapport du Conseil Général 1883

[20] Conseil Général 1884 avril  1

[21] Conseil Général 1885

[22] Rapports Conseil Général 1888

[23] Rapports Conseil Général 1890 aout 2

[24] Rapport du Conseil Général 1892

[25] Rapport du Conseil Général 1893

[26] Rapport du Conseil Général 1894

[27] Rapports Conseil Général 1894

[28] Rapports Conseil Général 1895

[29] Rapports Conseil Général 1896

[30] Rapports Conseil Général 1897

[31] Rapports Conseil Général 1898

[32] l'Avenir du Morbihan

[33] Rapports Conseil Général 1898

[34] Le Morbihannais

[35] Rapports Conseil Général 1898

[36] Rapports Conseil Général 1898

[37] Rapports Conseil Général 1899

[38] Le Morbihannais 1900

[39] Rapports Conseil Général 1907

[40] Rapports Conseil Général 1911

[41] Le Morbihannais 1911

[42] Conseil Général 1912  avril 1

[43] Conseil Général 1914 Septembre

[44] Rapports Conseil Général 1928

[45] Rapports Conseil Général 1930

[46] L’ouest Républicain 1933

[47] Rapports Conseil Général 1937 octobre

[48] Ministere des Travaux Publics Ponts et Chaussées  et des Mines1843

[49] Rapports Conseil Général 1888

[50] Rapports Conseil Général 1903- AvrilL

[51] le Morbihannais 1905 Mai

[52] Le Nouvelliste du Morbihan 1910

[53] Le Progrès du Morbihan 1911

[54] Le Progrès du Morbihan 1912

[55] Rapports Conseil Général 1927

[56] Rapports Conseil Général 1928

[57] Le progrès du Morbihan 1935

58)Ouest Eclair du 1/07/1926 no 6207